Mémoire cellulaire
Une compilation de ce que notre corps a vécu ( ou vit) physiquement, stocké émotionnellement, gardé de notre passif génétique et générationnel.
Les émotions programment les cellules. Nous réagissons en fonction du message engrammé précédemment, avec ce que le corps a déjà vécu. Médecine quantique.
L’acquisition des émotions commence dans l’utérus de la génitrice : toute émotion subie par la mère (peur, colère, rancœur, chagrin, anxiété, tristesse) se transfère au bébé en se stockant dans les gènes ainsi que dans les tissus (os, chair, etc.). Cela se répète tout au long de la vie.
La pathologie physique siphonne par le fond la résistance énergétique : sans énergie le corps ne survit pas. La pathologie peut laisser une information = ses mémoires = la vibration de son ADN au sein des cellules. Cette mémoire cellulaire peut épuiser d autres organes alors que la pathologie est réglée au niveau physique.
La pathologie survient à une réaction du corps pour trouver une résolution à un déséquilibre. Le corps exprime un déséquilibre quand il est en recherche de résolution.
Lorsqu’on parle de fréquence ou de maux, chacune de ses informations :
- peuvent avoir été
- OU être présente actuellement physiquement ou seulement énergétiquement
- OU être inscrite dans la mémoire cellulaire pathologique.
En état de déséquilibre énergétique, les structures physiologiques peuvent devenir dysfonctionnelles voire pathologiques. Une pathologie POURRAIT se déclencher dans le corps physique si le déséquilibre énergétique identifié n’est pas rééquilibré. « POURRAIT se déclencher » rien de sûr car le corps, la vie, imprime un mouvement perpétuel.
Ecouter ses mémoires permet de vivre léger ! Ma philosophie.
Avant de se cristalliser dans le corps sous forme de pathologie physique, le dérèglement énergétique est présent et se fait sentir, délicatement, subtilement.
- Sensation de “boule dans la gorge” avant de subir de maux de gorge ou de voies respiratoires…
- Troubles digestifs ou locomoteurs alors que toutes les analyses médicales sont bonnes…
- Se cogner un peu partout, avant de chuter voire d’avoir un accident…